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le mode vénère enclenché, elle poursuit son rêve inachevée. C'est ainsi, elle est différente et le ressent dans les tréfond de son ame. Peut être peut elle danser encore un peu sur la musique? S'enerver, avoir envie de hurler elle ignore encore pourquoi elle éprouve autant de haine. Ce qu'elle veux désormais c'est du son du lourd, des sentiments simples mais sincère. Son ancienne amie lui dira t elle pourquoi elle refuse de lui parler désormais? Celle là même qui a tracé une vie bien différente de la sienne, une vie dont elle rêve tout haut: un binome un bébé. Mais est elle trop névrosée pour trouver son propre bonheur?
La princesse Lili attendait son preux chevalier avec impatience et trépignait de le voir défoncer la porte de la chambre dans laquelle elle était séquestrée... Non pas qu'elle voulut de nombreux enfants avec ledit prince, mais surtout pour sortir un peu prendre l'air et se tailler la malle à la mer, qu'elle n'avait encore jamais vue.
La princesse Lili était plutôt attirée par les canailles, les musiciens, les tatoués... Même si elle ne les avait vus que dans des livres de vignettes autocollantes que la servante lui ramenait en douce pour qu'elle puisse au moins faire autre chose de sa vie que de brosser ses long et soyeux cheveux en cascade blonde.
La princesse Lili désirait évidemment avoir des enfants mais pas seule, elle rêvait donc du mec idéal et se rendit vite compte que l'imagination c'est bien mais parfois ça ne sert à rien ! Elle était donc pragmatique, un bonhomme qui la ferait rire se serait déjà un bon début d'histoire d'A...qui finit mal mon général.
je ne comprend pas, impossible de dompter mes cartons; je m'explique: je les ai pourtant acheter chez BIPloutou, mais non ils ont été mal élevé, ils ont refusé de se faire pour partir, et pareil pour se défaire, que dalle!!!!
Alors je les ai grondé; puni; boudé... Rien n'a fonctionné!
J'ai du donc les remplir moi-même! LE COMBLE!!!!
Enfin bon! C'est comme ça!!!!!
à très vite pour de nouvelles aventures!
Après une première nuit dans la chambre rouge au numéro 0135, les filles se rendirent à la super cafétaria. Pastèque, un grand brun ténéreux bouscula alors Cookie en se prenant les pieds dans son skate. "Tu pourrais pas faire attention! MON pantalon de survet' Mupa préféré est tout crade maintenant!" s'exclama Cookie "Scuse miss!" répondit-il. "Pastèque" hurla en un cri stridant Ananas "qu'est- ce que tu fous là!!!! Bordel de brin!" "Vous vous connaissez tout les deux?! C'est l'amour fou dis donc" ironisa Argentine, engoncé dans son perfecto en cuir noir, sa non couleur de prédilection. "Bin ouais, c'est ma demi-soeur depuis que nos parents respectifs se sont échangés mutuellement" dis Pastèque "Pas moyen" bouda Ananas, dans sa robe crayon et ses compensés vertes.
Après ce petit incident, Argentine, Laurine, Ananas et Cookie se rendire en cours de chimie, en travaux dirigés lorsqu'un autre incident plus étrange arriva. Elles travaillaient à quatre sur une dillusion de solution saline, lorsque vint l'ajouts du jus de citron pour révéler la présence ou non d'un pH inférieur à 7. Evidemment, Laurine en bonne laborantine en chef dans sa blouse de travail à fleurs, distribuer les conseils comme les béchères, c'est à dire souvent. (Là vous me direz que l'utilisation d'un papier pH aurai suffit, mais le but de la manipulation était de le prouver; pas seulement le montrer.) Laurine fut prise de convultion, comme possédé. "oh non, une crise pas maintenant!" s'exclama sa soeur Argentine, tandis que Cookie essayait de la maintenir. Le professeur étaient en train de faire des correction de copies (et oui dès le premier jour, il infligeait sans pitié des TP notés! Là Laurine se mis comme un robot en marche: dans sa demi-transe, elle se mis à réunir tous les ingrédients pour réaliser, devinez quoi, je vous mets dans le mille... du pain total, le sérum de vérité. "Alluscinant!" dis Ananas Elle ne savait pas encore à quoi celà allait leur servir....
C'est dans un bus bondé qu'étaient entassés quatre jeunes filles dont deux soeurs et un garçon, pour le long voyage jusqu'à Wunderbarde, l'école de l'élite culinaire: en effet le restaurant cafétaria était très réputé.
"TOUT LE MONDE DESCEND!!!!" cria Monsieur Dieu le Conseiller Principal d'Education, sa pipe dans la main, recrachant de la fumée.
"VOTRE CALVAIRE NE FAIT QUE COMMENCER!!" (Monsieur Dieu ne savait parler qu'en majuscule)
"ICI VOUS AUREZ AFFAIRE AVEC L'EQUIPE PEDAGOGIQUE, DONT MESDAMES HOTENE ET BINOCLE FONT PARTIES! NOUS NE TOLLERONS PAS LES FEINEANTS, N'EST CE PAS ARGENTINE?!"
Argentine, s'avança d'un pas et dit d'un ton aigre-doux: "oui Monsieur Dieu, je retape ma seconde je le sais!"
C'est ainsi que débuta la journée, le ton était donné.
C'est là, dans un batiment ayant survécu à la tempète de 1846, que les filles s'intallèrent dans leur chambre de quatre, par ordre d'inscription. Les quatre jeunes filles se retrouvèrent donc ensemble dans la chambre 0135, la chambre rouge:
- "Salut moi c'est Cookie, je fais sport étude!!!"
- "Avec ton survet pourrave j'aurai jamais deviné dis donc!" ricana Ananas
- "Fais pas gaffe à elle, c'est Ananas la Pétasse!" enchaina Argentine
- "Je vois que ma réputation m'a poursuivi jusqu'ici dis donc! J'adore!"dis Ananas
- "Elle en robe à fleur c'est Laurine ma soeur! Faites pas gaffe elle est timide! Mais c'est l'intello de la famille, elle a explosé les score au collège, ce qui nous permet de nous payer cette putain pardon cet merveilleuse école!"
- Quoi tu n'as pas participé au tirage au sort? s'inquiéta Cookie
- Disons que comme ma soeur est LE cerveau elle a réussi à trouver l'algorythme qui était utilisé par l'administration, ce qui me permet de retaper mon année, et elle a été choisi pour ses capacités, mais pas son humour!"
-"arrète de te moquer s'il te plait" dis dans un soupire Laurine.
Les présentations étaient faites!
il existe un monde par delà les nuages qui ne ressemble à nul autre un monde paisible ou le luxe n'est que calme et félicité une atmosphère de soupir s'effuie par l'expiration de mon souffle et essaie de me détendre dans ce monde si petit comme s'il y avait une erreur de timing peut-être une larme après l'autre je reprend les armes ma plume et mon verbe pour me défendre plutôt que la violence même si elle existe se faire violence comme on dit aller au delà de nos espérances et s'enfuir vers le bonheur qui me tend les bras vas-y serre moi
C'était lui...
Je suis donc allongée sur ce lit d'hôpital, Monsieur avait pris un malin plaisir à m'enlever, me priver de mon agonie et ma délivrance, il ne regrettait pas de m'avoir sortie de l'eau glacée pour me sauver.
Soi-disant!
Me sauver de quoi? Même mon chien avait parié sur le poison, mon gamin sur la méthadone et moi dans tout ?? Je n'ai pas eu droit à ma ciguë?
Le fleuve aurait dû me finir, et je me retrouvais au chaud dans ma chemise de nuit d'hôpital, une nouvelle cicatrice signant mon forfait.
Cinq euros en lames de rasoir qu'il me devait cet empaffé! Non mais!
"Mamie reviens avec moi, ne m'abandonne pas si vite!"
Avec quel égoïsme j'avais choisi de lui imposer ma présence, rassurante selon elle, hypocrite à mes yeux.
J'étais perdue dans la foule, elle m'y retrouvait.
J'étais éteinte devant la télé, elle me décrochait.
Elle qui malgré son âge et le mien, m'apportait des tartines le matin sur un plateau... Le bon vieux temps!
Son départ ne m'avait guère réconciliée avec ma mère, revêche et menaçante, je n'avais même pas pu lui chanter "the last good bye...
Et lui, ici encore à me sourire alors que je grimaçais mes insultes... Que cherchait-il?
-"Rien", semblait dire son sourire, "Tout", réclamait son cœur que je lisais
à livre ouvert, de droite à gauche.
Lui, donc assis près de moi, je finis par lui rendre ma main qu'il essayait d'attraper.
Je l'avais lu dans ses tatouages sinueux, une complexité si décontractée si douce...
Je voulais rentrer chez moi mais où? J'étais à la rue, même le chat avait trouvé des copains de galère... Et moi, alors la maison mon trottoir?
Hors de question.
Et Lui qui s'était désigné comme mon conjoint, je pouvais trouver les ravages
d'une vie sauvage dans ses mains calleuses et douloureuses.
Je compris alors qu'il ne m'avait sauvée qu'à moitié, je lui avais donné la chance de m'attraper au vol, et de lui s' éviter les ravages de l'hypothermie.
Alors il me dit enfin, serrant un peu plus ma main dans la sienne:
"Adopte-moi"
Et moi, abasourdie je m’entendais répondre: "OUI".
je suis là mainteant ici et toi
tu me suis tu me souris
a tel point que j'en reste quoi
et encore à celà j'ai ris
encore un peu plus en face
tu lis en moi un livre ouvert
et je repasse et trépasse
face au vent
je fais face
je regarde au loin
le néant
je suis ravie
qu'ils soient parties
ces cauchemars
maudits
c'est ainsi
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